Que salubre est le vent est présenté par son auteur comme une « Ode à Arthur Rimbaud ». En 1988, Jean-Pierre Parmentier a emprunté un certain nombre d’itinéraires rimbaldiens. Il ne s’agissait pas d’un parcours d’archéologue et le visible photographié est utilisé pour sa valeur métaphorique. Il fonctionne en contrepoint, en écho à la lecture des poèmes découverts lors de l’adolescence et qui n’ont jamais cessé de hanter l’adulte.